Le président russe Vladimir Poutine a récemment exprimé sa condamnation de l’incident de l’incendie du Coran à Stockholm, soulignant la position ferme de la Russie contre les délits religieux. Cet article explore les remarques de Poutine, les répercussions juridiques en Russie et la réponse internationale à l’incident.
Poutine qualifie la profanation du Coran de crime en Russie
Lors de sa visite au Daghestan, le président Poutine a réaffirmé que la profanation du Saint Coran est considérée comme un crime en Russie1. Sa déclaration souligne le sérieux avec lequel la Russie traite les infractions contre les textes et les sentiments religieux.
Les fouilles voilées de Poutine sur la Suède et l’OTAN
Dans ses propos, Poutine a fait une référence voilée à l’incident de l’incendie du Coran en Suède, suggérant que le pays n’avait pas tiré de leçons historiques2. Ce commentaire reflète les inquiétudes de Poutine concernant les implications potentielles de l’incident sur les relations internationales et la nécessité d’un respect mutuel entre les nations.
Condamnation internationale et réponse de la Turquie
La manifestation de brûlage du Coran à Stockholm a suscité une condamnation internationale, la Turquie la dénonçant comme un « acte odieux »3. L’approbation de la manifestation par les autorités suédoises a suscité l’indignation et suscité des inquiétudes quant à la protection de la liberté religieuse et de la tolérance.
Conclusion
La condamnation par Poutine de l’incident de la combustion du Coran à Stockholm souligne l’engagement de la Russie à protéger les sentiments religieux et à maintenir l’harmonie sociale. L’incident rappelle l’importance de respecter les textes religieux et de favoriser la compréhension entre les différentes communautés religieuses.
Photo illustrative par Abdulmeilk Aldawsari : https://www.pexels.com/photo/monochrome-photo-of-opened-quran-36704/