Cette action est menée à l’initiative de cinq syndicats de la SNCB, à savoir la CGSP Cheminots, la CSC-Transcom, le SLFP, le Sic et le Sact.
À l’origine de ce mouvement, on retrouve les projets de réforme du nouveau gouvernement fédéral, notamment les mesures concernant le relèvement de l’âge légal de la pension – certains cheminots bénéficiant actuellement de la possibilité de partir à la retraite dès 55 ans – et les restrictions budgétaires imposées à la société des chemins de fer.
« Malgré les réunions de conciliation qui se sont tenues, les cinq organisations syndicales ont décidé de maintenir la grève du mardi 15 avril« , commente la SNCB dans un communiqué.
« Les directions de HR Rail, Infrabel et SNCB regrettent cette action et le fait que les voyageurs subissent à nouveau les conséquences de ce conflit.«
D’autres grèves se tiendront encore les mardis 22 et 29 avril, jour où une nouvelle grève générale est annoncée.