Le cadre – d’accord pendant l’ONU Organisation maritime internationale (OMI) Comité de protection de l’environnement marin – vise les émissions nettes-zéro du secteur d’ici 2050 et sera officiellement adoptée en octobre avant d’entrer en vigueur en 2027.
Ils s’appliqueront à de grands navires océaniques de plus de 5 000 tonnages bruts, qui représentent collectivement 85% des émissions de dioxyde de carbone de la flotte maritime marin.
Secrétaire général de l’OMI Arsenio Dominguez salué la percéemettant l’accent sur l’esprit collaboratif qui a conduit à l’accord.
«L’approbation du projet de modifications à l’annexe VI de Marpol obligeant le cadre Net-Zero IMO représente une autre étape importante dans nos efforts collectifs pour lutter contre le changement climatique, pour moderniser l’expédition et démontrer que l’OMI donne ses engagements. «
L’annexe VI de Marpol fait référence aux dispositions dans le Convention internationale pour la prévention de la pollution des naviresaborder spécifiquement la pollution atmosphérique.
Il comprend déjà des exigences obligatoires d’efficacité énergétique pour les navires et a 108 parties couvrant environ 97% de la flotte du monde d’expédition marchands par tonnage.
Négociations intenses
Les négociations – qui ont culminé vendredi à Londres – ont été particulièrement difficiles.
Selon les médias, une douzaine de pays – y compris les États-Unis – étaient opposés au cadre. La proposition a finalement été soumise à un vote et a été adoptée.
Un tournant pour l’industrie du transport maritime
Le cadre présente une double approche: Une norme de carburant mondiale Cela réduira progressivement l’intensité annuelle de carburant des gaz à effet de serre des carburants marins, et un mécanisme de tarification des gaz à effet de serre exigeant que les navires à émettre de haut niveau paient leur pollution excédentaire.
Dans le cadre du nouveau système, les navires qui dépassent les limites d’émissions devront acquérir des unités de réparation pour compenser leur pollution excédentaire. Pendant ce temps, les navires opérant avec des émissions zéro ou proches de zéro seront éligibles à des récompenses financières, créant une poussée axée sur le marché vers un transport maritime plus propre.
Un cargo amarré dans un port en Europe.
Soutenir les pays vulnérables
Un élément clé du nouveau cadre est le Fonds IMO Net-Zero, qui collectera les revenus du mécanisme de tarification du carbone.
Ces fonds soutiendront l’innovation, la recherche, les infrastructures et les initiatives de transition dans les pays en développement.
Il sera également utilisé pour atténuer les impacts négatifs sur les nations vulnérables, telles que les États en développement de petites îles (SMSN) et les pays les moins développés (LDC), qui ont le poids du changement climatique et des pressions économiques dans le secteur du transport maritime.
Étapes suivantes: adoption et mise en œuvre
Le projet de réglementation subira une adoption officielle en octobre 2025.
S’il est ratifié pendant la session de l’OMI, comme prévu, les mesures entrent en vigueur en 2027, donnant à l’industrie le temps de s’adapter à de nouvelles exigences et d’investir dans des carburants et des technologies alternatifs.
L’organisation maritime internationale
L’Organisation maritime internationale (OMI) est l’ONU Agence spécialisée responsable de la sécurité et de la sécurité de l’expédition mondiale et la prévention de la pollution marine et atmosphérique par les navires.
Créée en 1948 et dont le siège est à Londres, il développe des traités internationaux, tels que la Convention internationale pour la sécurité de la vie en mer (SOLAS) ou la Convention internationale pour la prévention de la pollution des navires (Marpol).