Depuis des années maintenant, Virginie Hocq crève l’écran. Le petit comme le grand d’ailleurs. De ses premiers pas sur scène en 1999, à la sortie prochaine du film « Demain, si tout va bien », la comédienne belge fait indéniablement partie de notre patrimoine culturel, mais aussi de notre quotidien.
Qu’il s’agisse d’humour, de théâtre, de séries ou bien de films, Virginie Hocq développe sa palette et séduit les foules. Quand on lui demande ce à quoi elle aspire pour cette nouvelle année, sa positivité habituelle transparaît :
« J’ai très envie que ça continue comme ça en réalité. Je fais souvent des bilans du chemin que j’ai parcouru et je me dis que ma vie est plutôt chouette si je repense à l’enfant de 8 ans qui voulait faire ce métier. Et franchement j’ai l’impression que j’y arrive bien. Je me suis donné les outils pour. […] C’est du travail d’être comédienne. Puis, la confiance n’est pas tout le temps là. L’humour me fait avancer car il me permet de dire des choses et d’oser dire des choses justement. Mais qu’est-ce que je suis contente… Et je veux que ça continue comme ça. Je crois que je n’ai jamais eu de fulgurance dans mon métier mais je suis là depuis de nombreuses années et je continue… «
Une place qu’elle occupe grâce à un travail acharné, mais aussi un peu de chance :
« Il y a de la chance mais pas que. Je me suis longtemps dit que ce n’était que la chance qui me faisait travailler. Et pas du tout en fait. C’est justement le fait de semer des petites graines, d’avancer dans le temps, de faire des bonnes rencontres, d’oser aussi. Parce que je crois que dans ce métier il faut être un peu inconscient… Et je suis très inconsciente parce qu’être seule sur scène c’est très inconscient«