De temps en temps, on prend son petit-déjeuner avec quelques nouvelles internationales publiées par des médias journalistiques de toutes sortes, de celles qui retiennent l’attention. Dans certains cas, je les lis et les mets de côté, et dans d’autres, ils deviennent simplement partie intégrante de mes archives de papiers oubliés, une sorte de pages de journaux oubliées dans des cartons, qui de temps en temps passent vers une vie meilleure. Ils ramassent la poussière, prennent de la place et, au fil des années, suscitent quelques commentaires parmi les gens autour de vous : …sûrement si un psychologue voyait votre salle de travail, il n’hésiterait pas à vous diagnostiquer le syndrome de Diogène, j’ai même entendu cela de la part de mes amis et de ma famille. Ce Diogène gardait sûrement tellement de choses qu’il devenait incontrôlable. Ce n’est pas mon cas.
Bien sûr, de temps en temps, dans ma recherche personnelle de plus d’espace, j’attaque ces boîtes, conteneurs de presse et beaucoup d’entre eux, après un examen discret, vont occuper la place que l’histoire leur donne dans le conteneur en papier. Cependant, à d’autres occasions, un titre déjà oublié revient me rappeler pourquoi je l’ai conservé. Dans ce cas, le titre d’une chronique du journal El País du 13 août 2014 (il y a 10 ans) L’OMS (Organisation Mondiale de la Santé) admet l’utilisation de médicaments expérimentaux. Se protégeant derrière l’approbation d’un comité d’éthique appartenant à la même organisation (Juan Palomo, yo me lo guiso, yo me lo como – dicton typiquement espagnol, signifiant qu’on fait tout sans la permission de personne), ils approuvaient à l’époque l’utilisation de traitements expérimentaux sur les victimes d’une épidémie d’Ebola qui se déroulait à cette époque en Afrique de l’Ouest, sans avoir prouvé du tout leur efficacité. Pour justifier ce traitement, le directeur adjoint des systèmes de santé de l’OMS de l’époque affirmait que les autres traitements antérieurs n’étaient pas efficaces et que par conséquent… ce n’est pas seulement un impératif éthique, mais un impératif moral.
La déclaration de l’OMS ne faisait pas référence, selon la coupure elle-même, au sérum expérimental dont l’utilisation chez les cobayes humains avait été approuvée, mais que certains critères éthiques devaient également être pris en compte, notamment la transparence sur la nature du médicament (Quelle transparence peut-il y avoir, quand la nature de ses résultats n’est pas connue ? Ah ! Ces médecins). Bien sûr, l’accent a également été mis sur le respect de la personne, la dignité et l’implication communautaire et, j’ai oublié, le consentement. Mais si vous vivez en Afrique de l’Ouest, l’une des régions les plus déprimées du monde, où vous n’avez absolument rien pour survivre, peu importe ce que disent ceux qui contrôlent la cabane du « chaman médical », tout ira bien pour eux. Quelle est la différence entre mourir d’Ebola, de malnutrition ou de toute autre maladie à laquelle vous n’êtes pas préparé ou servir de rat de laboratoire pour les grandes sociétés pharmaceutiques, y compris le faux empire de gardes de santé mal nommé OMS ?
En outre, dans la même coupure, il a été confirmé que l’OMS avait donné son feu vert à l’utilisation de certains médicaments expérimentaux sur ces humains en Afrique, après qu’un porte-parole, une semaine plus tôt, avait déconseillé l’utilisation de tout produit… qui n’a pas été utilisé. passé par le processus normal d’obtention d’un permis et d’examen médical.
Bien entendu, je ne vais pas ici approfondir ce sujet, mais disons qu’un livre pourrait être écrit sur le sujet. Si vous en avez le temps et l’occasion, je vous conseille de mettre la phrase qui fait office de titre de cet article d’opinion : L’OMS autorise l’utilisation de médicaments expérimentaux, quelle que soit votre langue, et vous verrez comment des milliers d’entrées sur ce sujet apparaîtront. . La pandémie de COVID 19 elle-même, qui n’en était pas une et n’a pas plongé le monde dans une fin des temps terrifiante, a sans aucun doute été l’un des derniers projets de l’OMS et de certaines grandes sociétés pharmaceutiques sur la manière d’utiliser des médicaments expérimentaux sur les humains, avec le différence qu’à cette occasion ils ont été utilisés sur ceux qui pouvaient les payer, enrichissant l’industrie d’une manière honteuse et dégoûtante. Les gouvernements nous ont menti, certains présidents ont même parlé ouvertement de comités d’experts inexistants (comme dans le cas de l’Espagne), ils ont parlé de transparence et d’éthique, ils nous ont utilisés en nous traitant de stupides et en nous pointant du doigt si nous n’étions pas d’accord. avec leurs thèses. Toutes les limites ont été dépassées. Ils ont détourné la démocratie et la liberté et nous ont soumis à un stress inutile dont nous sommes sortis pour nous définir plus tard en général comme des malades mentaux.
J’imagine qu’un jour il faudra faire éclater la vérité ou au moins continuer à publier des documents où l’on peut lire entre les lignes comment nous avons été escroqués, avec la connivence de l’OMS, qui comme à d’autres occasions, une semaine avant de déclarer la pandémie de COVID-19 en Europe, a déclaré qu’absolument rien ne se passerait.
Que peut-il se passer en une semaine pour un changement d’opinion aussi radical, et plus encore dans une organisation qui, soi-disant, a l’obligation de veiller sur nous tous ?
Parfois, les coupures, bien que pleines de poussière, sont souvent utiles pour nous rendre un minimum de l’intégrité personnelle qui nous a été enlevée pendant quelques années et qui ne nous a toujours pas été restituée, alors que nous savons maintenant qu’il y a étaient des vaccins qui ont généré de graves problèmes de santé et des décès. Oui, pour le bien de tous. J’attends bien sûr des millions de dollars d’indemnisation pour ceux qui ont laissé des séquelles à vie ou pour les proches de ceux dont la vie a été enlevée.
D’ailleurs, je laisse la question en suspens : pourquoi en 2014 n’avions-nous pas déjà un vaccin contre Ebola ? Un vaccin présumé a été breveté en 2019, le rVSV-ZEBOV, aux USA, si l’on considère que la maladie a été détectée en 1976 en République Démocratique du Congo, pourquoi a-t-il fallu 43 ans pour obtenir des résultats ?
Publié à l’origine dans The European Times.