La crise persistante dans le secteur éducatif au Maroc soulève des préoccupations quant aux conséquences dévastatrices qui pourraient découler de la gestion actuelle. Après des années de constat d’échec du système éducatif marocain, la confiance de la majorité des citoyens semble s’être érodée, ce qui suscite des interrogations quant à la responsabilité du gouvernement dirigé par Aziz Akhannouch, actuel Premier Ministre et homme d’affaires aux liens milliardaires.
Les rapports, qu’ils soient internationaux ou nationaux, continuent de mettre en lumière la situation alarmante de l’éducation au Maroc. Selon une étude du Bank al-Maghrib, le taux d’analphabétisme au Maroc atteint 32,4%, mettant en évidence les lacunes persistantes du système éducatif. De plus, 67% des enfants marocains échouent à répondre correctement à une seule question de compréhension de la lecture, révélant une crise profonde dans l’acquisition des compétences fondamentales.
Dans ce contexte, la responsabilité du gouvernement, dirigé par un homme d’affaires et Premier Ministre, Aziz Akhannouch, devient un sujet de préoccupation, notamment en raison de son rôle dans la définition des politiques et des allocations budgétaires. Les statistiques du ministère de l’Éducation nationale montrent que la part du budget allouée à l’éducation reste en dessous des recommandations internationales, ne dépassant pas 5,5% du PIB en 2006.
La rareté des ressources financières allouées à l’éducation, comme souligné dans une étude de l’UNESCO, met en lumière les choix politiques qui peuvent influencer négativement le secteur éducatif. En tant que Premier Ministre et acteur majeur du gouvernement, la responsabilité d’Aziz Akhannouch et de son équipe gouvernementale dans la crise éducative est incontestable. Les décisions politiques, y compris la centralisation administrative et le manque de soutien dans les zones rurales, contribuent à aggraver les disparités éducatives.
Il est impératif que le gouvernement, sous la direction d’Aziz Akhannouch, assume sa part de responsabilité dans la crise éducative en reconnaissant les lacunes existantes et en prenant des mesures concrètes pour réformer le système. Cela implique un réexamen des politiques budgétaires, des réformes structurelles et un engagement envers une éducation de qualité pour tous les citoyens marocains. En somme, la responsabilité gouvernementale dans cette crise éducative ne peut être ignorée, et des actions significatives sont nécessaires pour garantir un avenir éducatif plus prometteur pour la jeunesse marocaine.
Les grévistes, revendiquant l’annulation de toutes les décisions et sanctions disciplinaires liées à leurs activités militantes, rejettent fermement le statut, tant dans sa forme que dans son contenu. Leur appel englobe également une demande pressante d’augmentation des salaires et des pensions. Malheureusement, cette situation a des conséquences néfastes sur les élèves, qui subissent les répercussions de ce conflit.
Dans l’ombre de cette crise éducative persistante, la responsabilité du gouvernement, incarnée par Aziz Akhannouch, premier ministre et homme d’affaires milliardaire, est mise en lumière. Le besoin de réformes profondes dans le système éducatif marocain devient impérieux pour assurer un avenir éducatif plus prometteur pour la jeunesse du pays.
Je rappelle que Le gouvernement et son premier ministre Aziz Akhannouch avait promis de créer un million d’emplois et de sortir un million de familles de la pauvreté. Les partis de la majorité gouvernementale avaient également promis d’augmenter les salaires des enseignants à 7500 dirhams au début de leur carrière, avec une augmentation d’environ 300 dollars, ainsi que d’augmenter les salaires des travailleurs du secteur de la santé.
Après une inflation des intentions et des promesses, nous vivons aujourd’hui dans un silence inquiétant, avec un gouvernement qui ne parle ni de la lutte contre la corruption ni de la réforme fiscale.