L’alcool (éthanol) peut intervenir dans la composition des préparations « de santé » comme solvant (il permet d’extraire le principe actif des plantes concernées, par exemple), excipient (composant inerte) ou simple conservateur, voire y être ajouté sans aucune raison valable.
Le CSS relève la difficulté, à l’heure actuelle, d’identifier clairement la présence et la quantité d’éthanol dans les préparations disponibles sur le marché. Seules les « boissons » alcoolisées doivent, selon la loi, afficher clairement, au-delà d’un certain seuil, leur titrage en alcool et ne peuvent être vendues aux plus jeunes que dans une certaine limite. Mais les compléments alimentaires sous forme liquide n’entrent pas dans cette catégorie. En l’absence de précisions des fabricants, les données rassemblées permettent seulement, à ce stade, d’estimer qu’un enfant ou un adolescent consommant ce type de remèdes, toute forme confondue, peut ingérer des doses non négligeables d’alcool, allant jusqu’à plusieurs grammes par semaine.
Le CSS relève la difficulté, à l’heure actuelle, d’identifier clairement la présence et la quantité d’éthanol dans les préparations disponibles sur le marché. Seules les « boissons » alcoolisées doivent, selon la loi, afficher clairement, au-delà d’un certain seuil, leur titrage en alcool et ne peuvent être vendues aux plus jeunes que dans une certaine limite. Mais les compléments alimentaires sous forme liquide n’entrent pas dans cette catégorie. En l’absence de précisions des fabricants, les données rassemblées permettent seulement, à ce stade, d’estimer qu’un enfant ou un adolescent consommant ce type de remèdes, toute forme confondue, peut ingérer des doses non négligeables d’alcool, allant jusqu’à plusieurs grammes par semaine.