Le tabagisme est l’un des principaux facteurs prédictifs de décès prématuré et de perte de qualité de vie. Chaque année, plus de 14 000 Belges meurent des suites du tabagisme. Malgré cela, un Belge sur cinq reste attaché à la cigarette.
Depuis de nombreuses années, les fumeurs utilisent généralement une cigarette à filtre. Cependant, il n’y a pas d’argument scientifique pour encourager l’utilisation de ces derniers. En effet, ils créent un faux sentiment de sécurité. Le fumeur pense, à tort, que le filtre réduit les effets nocifs de la fumée de tabac. Or, c’est le contraire qui est vrai : bien que le filtre bloque une partie des particules de suie et de nicotine, la modification du mode de combustion augmente la formation d’importantes substances cancérigènes. Les fumeurs inhalent également plus fréquemment et/ou plus profondément pour compenser la réduction de l’apport en nicotine liée à la présence du filtre. Au lieu de protéger contre le cancer du poumon, les filtres ont surtout favorisé, au fil des années, un changement de type de cancer du poumon.
Depuis de nombreuses années, les fumeurs utilisent généralement une cigarette à filtre. Cependant, il n’y a pas d’argument scientifique pour encourager l’utilisation de ces derniers. En effet, ils créent un faux sentiment de sécurité. Le fumeur pense, à tort, que le filtre réduit les effets nocifs de la fumée de tabac. Or, c’est le contraire qui est vrai : bien que le filtre bloque une partie des particules de suie et de nicotine, la modification du mode de combustion augmente la formation d’importantes substances cancérigènes. Les fumeurs inhalent également plus fréquemment et/ou plus profondément pour compenser la réduction de l’apport en nicotine liée à la présence du filtre. Au lieu de protéger contre le cancer du poumon, les filtres ont surtout favorisé, au fil des années, un changement de type de cancer du poumon.