Les travaux seront précédés d’études préparatoires, telles qu’un inventaire amiante, un métré des façades, une analyse des matériaux et des dégradations des façades, des études sur l’historique de la construction et la technique des matériaux ainsi qu’une étude de stabilité.
Vu le caractère classé du parc du Cinquantenaire et des bâtiments, les travaux sont exécutés en collaboration avec la Commission royale des Monuments et Sites.
Ce projet suit le projet de rénovation de grande ampleur des toits des musées du Cinquantenaire qui a démarré en 2018 et se trouve à présent dans sa phase finale.
Les travaux s’inscrivent dans le Projet 50/200 et donneront un nouvel élan au site du Cinquantenaire à l’approche du bicentenaire de la Belgique en 2030.
Mathieu Michel, secrétaire d’État à la Digitalisation, chargé de la Simplification administrative, de la Protection de la vie privée et de la Régie des Bâtiments, adjoint au Premier ministre :
« La préservation et l’amélioration énergétique du patrimoine symbolique de l’Etat est une priorité pour moi. Ma volonté est de finaliser la rénovation du Cinquantenaire (Institut royal du Patrimoine Artistique et Musées royaux d’Art et d’Histoire) pour le 200ème anniversaire de notre pays. La Régie des bâtiments ne ménage pas ses efforts pour atteindre cet objectif. »
Thomas Dermine, secrétaire d’État pour la Relance et les Investissements stratégiques, chargé de la Politique scientifique :
« La phase suivante de la rénovation des toitures, façades et fenêtres des musées du site emblématique du Cinquantenaire nous rapproche encore de la revalorisation complète du site en vue du bicentenaire de la Belgique en 2030. Ce site poursuit donc sa transformation d’un lieu d’exposition de collections en un parc muséal du 21e siècle. »